Je ne sais plus. Je ne sais plus quoi penser... Comment voulez-vous que j'arrive à me concentrer ? Ces derniers jours ont été riches en émotions et je ne sais plus quoi penser. Cependant, je n'aime pas perdre le contrôle de la situation. Je ne sais pas, je ne sais vraiment pas et ces incertitudes me rongent de l'intérieur. Comment faire quand votre coeur vous dicte de vous attacher à quelqu'un et que votre raison s'y oppose. Je n'ai déjà plus beaucoup de place dans mon coeur et je ne sais pas si je suis prête à laisser entrer quelqu'un de nouveau. Même s'il est gentil, prévenant et que je n'ai envie que d'une chose: l'envoyer balader. Mais tout en moi s'y oppose. Je ne vois qu'une raison de le repousser et franchement, comparée au centaines d'autres qui se bousculent dans ma tête, me poussant à aller vers lui, je ne sais pas quelle est la marche à suivre... Je déteste ça. Je déteste éprouver ce genre de sentiments car je n'a qu'une envie c'est de me laisser glisser vers lui. Je n'ai qu'une envie: celle de sentir la chaleur de ses bras autour de mon corps mais quelque chose s'y oppose en moi. Serait-ce du au fait que je m'attache trop vite. Putain, me voilà obliger d'écrire mes putains de sentiments sur ce putain de blog que personne ne lit et cela me tue, me ronge car tout me pousse vraiment à aller vers lui... Mais quelque chose m'en empêche. Help me please!

Vous savez ce qui me ferait plaisir... Une bonne bouteille de vodka, histoire que je me saoule la gueule une bonne fois pour toutes car je veux me sentir mal, je ne veux plus penser à lui, je ne veux plus commencer à ressentir ses sentiments que je n'ai pas ressenti depuis neuf mois. Neuf mois... pour me remettre d'une relation destructrice qui a mis deux ans à se construire et qui s'est fini comme ça, comme si elle n'avait jamais existé.

"Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m'en mêlerai plus. Ce sera comme si je n'avais jamais existé."

Détruite. Et quand j'ai été enfin capable de me reconstruire, on m'a de nouveau pulvérisé comme ci je n'étais... comme ci je n'étais qu'une vulgaire feuille de papier que l'on aurait brûlé. Alors vas-y brûle-moi, consume-moi, de toute manière... Je n'ai plus rien à perdre. "Ca ne sers à rien de te mettre dans des états pareils" Mais mets toi à ma place deux secondes. On ne se connait pas depuis longtemps et ce que je ressens est... indescriptible. Mes pensées, même mes rêves sont tournés vers toi et je sens que je vais succomber. Le bonheur. Je ne crois pas au bonheur, je ne crois plus en rien.

" Je n'avais plus envie de lutter.Et ce ne fut pas le vertige, le froid ou l'épuisement de mes muscles qui m'amena a abandonner la partie. J'etais presque contente que c'en fut terminée.Cette mort était préférable a celles auxquelles j'avais deja été confrontée. Etrangement paisible. Savoir la fin proche etait reconfortant. Je songeai brièvement aux clichés qui affirment que votre vie défilent devant vos yeux. Je n'eu pas cette malchance. Qui aurait d'ailleurs souhaité visionner la rediffusion de ma propre existence ?"

Je me sens si pitoyable. Je ne veux pas le faire souffrir. Alors pitié, ne m'en donne pas l'occasion. Je suis douée pour ce genre de choses et je ne voudrais pas que cela t'arrive. Pitié... Ne t'attaches pas à moi.

Passion...

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